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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 01:46

La reprise s'est bien passée. Quelques douleurs suite à des périodes d'inactivité/des entraînements/on ne sait trop quoi...

Ce matin, séance d'escalade de blocs. J'ai décliné l'invitation à enfiler des chaussons d'escalade, ne sachant que trop ce qu'une compression de l'arrière du talon risquait d'engendrer en moins de dix minutes. Du coup, faire de l'escalade sur une paroi avec des prises microscopiques et avec des runnings, ça introduit dans l'activité une part de hasard. Tiendra ? Tiendra pas ? Autant dire que les pistes trop techniques me sont définitivement hors d'atteinte.

Bonne séance cependant. Beaucoup de plaisir à pratiquer cette activité plaisante et pleine de sensations. Puisse mon tendon me permettre de pratiquer encore quelques années.

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 00:12

Pas d'aggravation. Très peu de douleurs, sauf au réveil ou après une période d'inactivité. Nouveau vélo, dont j'ai enlevé les cale-pieds pour appuyer avec le talon sur la pédale, ce qui soulage le tendon. Changé les roues du roller, première sortie de l'année vendredi. Et toujours boîte automatique.

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 10:55

Cinq ans ont passé. Je ne boîte plus, sauf au réveil où de vieux réflexes me font ne pas utiliser mon tendon pendant quelques mètres afin de lui permettre un petit échauffement matinal.

 

J'ai fait les soldes. Ma marque fétiche (La Halle aux Chaussures...) m'a, cette année, permis de chausser sans douleur trois paires de chaussures de ville. Des crampons pour stabilisé très légers de chez Adidas me vont aussi. Des running Nike avec une grosse semelle orthopédique complètent le tout. Pour le reste, c'est Tongs et claquettes de piscine, ce qui fait des vacances à mon tendon.

 

Pour la voiture, la boîte auto tient toujours. Tant qu'à citer des marques, la DSG de Volkswagen, c'est un bonheur quotidien.

Pour le boulot, je m'assois dès que possible. 

Pour le sport, je me dis que, la quarantaine arrivant, je ne suis pas trop à plaindre. Je cours, pas comme un lapin, mais je me défends.

 

Courage à tous ceux qui peuvent avoir ce petit souci. J'espère que vous vous en sortirez au moins aussi bien que moi.

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 00:11

Quatre ans de passés. Pas d'évolution pour l'instant. Je ne boîte plus. J'utilise des semelles orthopédiques. Je choisis mes chaussures avec minutie, en n'hésitant pas à jeter à la poubelles celles qui sembleraient me causer une petite douleur. Le moindre affaissement d'un milimètre de la semelle peut m'occasionner une douleur sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines car le haut de l'arrière de la chaussure vient comprimer le tendon sur le kyste. Donc je me méfie.

 

Je fais toujours du sport. Le ski est idéal : le pied est maintenu et le talon ne travaille pas du tout. Le roller est à peu près aussi aisé que le ski. La course à pied est plus problématique et il me faut choisir les chaussures et la semelle orthopédique avec beaucoup d'attention. Ma démarche est un peu asymétrique, souvenir de mes épisodes douloureux, ce qui porte un peu sur le genou et la hanche. Je me tiens debout en appui sur le pied valide, en général, inconsciemment.

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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:30

Je viens de refaire une paire de semelles orthopédiques. Elles rentrent uniquement dans mes trainings. Pour ce qui est des chaussures de ville, je prends des chaussures avec semelle en plastique souple et qui couvrent bien le dessus du pieds. Cela permet un bon maintien dans la chaussure et évite tout glissement au niveau du talon.

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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 21:21

Quelques nouvelles, pour voir un peu l'évolution.

 

J'ai acheté une voiture avec une boîte automatique en avril dernier. Mine de rien, ça veut dire que je peux aller où je veux sans avoir mal à mon tendon gauche, et ça, c'est vraiment fabuleux.

 

J'ai fêté les deux ans de ma tendinite en juin dernier.

J'ai passé un bon été, dans l'ensemble.

J'ai même pu marcher sur la plage sans douleur.

 

A la rentrée, une journée avec des chaussures de ville m'a fait prendre conscience que cette paire me faisait mal. La leçon a été rude, j'ai mis une semaine à m'en remettre. J'ai jeté la paire en question. En gros, les runnings qui ne remontent pas sur l'arrière et qui arrivent à contenir mes semelles orthopédiques me font passer de bonnes journées. J'en oublierais presque ma douleur. Une paire de chaussures de ville assez souples et avec un talon conséquent sont supportables sans dommage également. Une paire de claquettes qu'on utilise sur le bord des piscines me sert de chaussons. Des chaussures à crampons me vont également : l'arrière est en plastique rigide mais j'ai découpé à la scie à métaux, ce qui dégage le tendon. Je fonctionne ainsi sans trop de douleur ni agravation de mon état.

 

Je fais du roller et j'arrive à courir à l'entraînement d'ultimate (frisbee), c'est déjà ça.

 

En gros, tout va bien, je sais que je suis handicapé et j'assume.

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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 18:25

Hello,

Welcome to this blog where I am going to tell you my story , or at least the beginning.

In June 2008, at 35 years old, I am stuck with crutches for 1 week because of a tendonitis. New shoes that are too small, practice of a team sport (Ultimate) or too much roller blading, maybe dehydration...we will never know why.

My doctor diagnosed an Achilles tendonitis: anti- inflammatory pills, crutches, ice, one week rest. Summer passes, new running shoes help me get better, but it is not perfect.

I start work again in September, the pain is still here. I start exercising again, it is not great but I manage to get some running in. I am limping...people tell me: ‘tendonitis takes a long time to heal, patience.  It eventually gets better but it takes time. A tendonitis heals itself but it takes time.’ OK, I am patient and I am limping...

A year later, I can still feel the pain at the end of the day. I crop the back of my sports shoes to free up the tendon, which feels good. By the way, in town shoes a little lift sole under the heel has the same effect. Summer arrives so does the beach and the pain gets worse. I start limping again...

My doctor sends me to see a podiatrist, who diagnoses feet collapsing to the center and prescribes insoles with an uplifted heel and support for the plantar arch. The doctor is confident that this will cure my problem. Great...first these insoles do not fit in all my shoes, secondly: how am I supposed to drive with platform shoes? I now understand the nightmare women experience when trying to drive in high heels. The clutch pedal is not my friend. I am limping again.

Several months later with the same pain, I am recommended to a famous doctor specialized in sport traumas. It is now winter 2009. Tests, diagnostic: Achilles Tendinopaty, physiotherapy, Stanish re-education protocol. This doctor takes the time to examine my ankle and identifies that the pain located at the insertion of the tendon in the calcaneum is very localized. To which, I cannot agree more.

The first physiotherapist is not even worth mentioning. He denigrated the Stanish protocol by accusing the doctor of a know it all. Hi idea was : electricity, ultra-sound, ice and that’s it. 5 sessions latter, I switch to a new Phisio. This one is said to be good. Osteopath and Phisio, he takes the time to listen to me and accepts the Stanish protocol. To which he adds : handling, massages, ultra-sounds and electricity. 10 sessions later …I no longer limp. The pain decreases. Driving is no longer a punishment but a slight discomfort remains. Shoes without the lift sole under the heel are still a problem. The tendonitis seems to want to disappear but something is still not right. In short, things are better but not good yet.

I go back to see the specialist (the same one, might as well go back to the same if he is efficient). MRI. The sentence falls: ‘Normal aspect of the calcaneun tendon but presence of a little calcaneus gangnlion cyst inside the bone near the insertion of the tendon. A little intraarticular outpouring in the ankle astraglien and deputy astraglien.’ In short, I have a cyst in the bone where the tendon is attached to the bone. No treatment available, surgery is too risky compared to the benefit. I no longer really limp…it still hurts…for 21 months now.

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 00:28
Bon, je vous ai raconté mon histoire et fait voir l'intérieur de moi-même.

A vous maintenant de laisser quelques traces.

Cela vous est-il arrivé ?
Y a-t-il un traitement ?
Une opération ?
Merci de me contacter ou de laisser un commentaire si vous avez des informations.

Quelques liens :
http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/calcaneum-kyste-du-8845.html
http://www.em-consulte.com/article/122747
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=2667171 (un cas de kyste intra-osseux du calcaneum)
http://www.maitrise-orthop.com/corpusmaitri/orthopaedic/138_rolland/
(ce dernier lien contient des photos d'opérations dont tout possesseur de tendon non membre du corps médical peut éviter
la vue, surtout si l'un des siens lui cause quelque douleur)
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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 00:04
cheville1.jpg
cheville3.jpg
On voit bien le kyste intra-osseux, en noir sur la première photo et en blanc sur la deuxième, au niveau de l'insertion du tendon.
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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 17:43
Bonjour.

Bienvenue sur ce blog. Je vais y raconter mon histoire qui n'est peut-être pas terminée.

En juin 2008, fort de mes 35 ans, une tendinite me cloue en béquille pour une bonne semaine. Chaussures neuves trop petites, peut-être, pratique d'un sport collectif (ultimate) ou du roller de manière excessive, peut-être aussi, déshydratation... on ne saura jamais.

Mon médecin me diagnostique une tendinite d'Achille : anti-inflamatoires, béquilles, glaçage, une semaine de repos. L'été passe. Des chaussures (running) me permettent de me remettre un peu, mais ce n'est pas trop ça quand même. Reprise du travail en septembre, la douleur est toujours présente. Je reprends doucement le sport, ce n'est pas fabuleux mais j'arrive à courir. Je boîte... On me dit : "Une tendinite, c'est long, il faut être patient", "Ca finit par passer mais ça met du temps", "Une tendinite ça guérit tout seul mais lentement". D'accord, je suis patient. Je boîte...

Un an après, la douleur est toujours présente en fin de journée. Je retaille consciencieusement l'arrière de mes chaussures de sport afin de dégager le tendon, ce qui lui fait du bien. Dans les chaussures de ville, l'utilisation de talonnettes a le même effet. Je suis mieux en chaussures de ville, d'ailleurs. L'été arrive, la plage aussi. La douleur s'intensifie. Je boîte...

Mon médecin m'oriente alors vers un podologue, qui me diagnostique des pieds qui rentrent vers l'intérieur et me prescrit des semelles avec un talon surélevé et une voûte plantaire bien marquée. Il me confie, confiant : "Avec ça, vous guérirez." Chouette... D'une, ces semelles orthopédiques ne vont pas dans toutes les chaussures. De deux, comment conduire avec ces plateforme-boots ? Je comprends maintenant ces dames en talons hauts et leurs calvaires automobilistiques. La pédale d'embrayage n'est pas mon amie. Je boîte...

Quelques mois après, avec toujours les mêmes douleurs, on me conseille un spécialiste médecin du sport renommé. On est en hiver 2009. Examen, diagnostic : tendinopathie d'Achille. Kinésithérapie, rééducation de Stanish. Ce médecin a pris le temps d'examiner sérieusement la cheville et trouve que la douleur, située sur l'insertion du tendon dans le calcanéeum, est très localisée. Ce en quoi il aura raison.

Le premier kinésithérapeuthe ne vaut pas la peine qu'on en parle longuement. Il dénigre d'entrée le protocole en s'en prenant "aux médecins qui croient tout savoir". Une séance, c'est : électricité, ultra-sons, glaçage et basta. 5 séances plus tard, j'en change. Le second est un bon, dirait-on. Ostéopathe et Kinésithérapeuthe, il prend le temps de m'écouter, accepte le protocole de Stanish. En plus de cela, manipulations, massages, ultra-sons, électricité. Dix séances et... je ne boîte plus. La douleur diminue. La conduite automobile n'est plus un châtiment mais une gêne subsiste. Les chaussures non-surélevées sont toujours un souci. La tendinite semble vouloir disparaître mais il reste quelque chose. Bref, c'est mieux, mais pas encore bien.

Re-spécialiste (le même, autant revenir chez des professionnels efficaces). IRM. Le verdict tombe : "Aspect normal du tendon calcanéen mais présence d'une petite formation kystique intra-osseuse calcanéenne à proximité de l'insertion tendineuse. Petit épanchement intra-articulaire tibio-astraglien et sous-astraglien." En gros, j'ai un kyste dans l'os au niveau où le le tendon s'attache à l'os. Pas de traitement envisageable, l'opération semblant trop risquée au vu de ce qu'elle pourrait apporter. Je ne boîte plus vraiment... J'ai mal... depuis 21 mois.

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  • : Kyste intra-osseux calcanéen
  • : Un blog sur une pathologie du tendon d'Achille qui a montré un kyste intra-osseux.
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